top chef

19 avr. 2008

sushis à la carte de la villa Tropézienne, de l'Opéra, et des Coulisses...

Sushi,Rolls Californiens, Dim-sum, Nems végétariens, Makis, Jonque, Sashimis, Moriwase

 Si l'on excepte les sumo dont l'obésité est une vocation, les Japonais ont la réputation d'être sveltes. De fait, si la gastronomie japonaise est saine, c'est parce qu'elle est basée sur des aliments diététiques. Les produits utilisés dans la préparations des sushis sont tous plus sains les uns que les autres. 

Les poissons utilisés pour la fabrication de ces fameux sushis sont très peu caloriques, comme le bar ou la daurade se situent souvent sous le seuil des 100 kcal pour 100 g. Les poissons plus gras comme le saumon ou le thon disposent, quant à eux, d'une teneur riche en Oméga 3. Ces acides gras polyinsaturés réduisent les risques de maladies cardiovasculaires et les cancers.









Les bonnes adresses du chef..


Ou trouver de véritable petits suisses???
Face à la Villa Tropézienne ,le marché Victor Hugo est le plus grand marché du centre ville.
Trouver le fromager deux -Chavannes et les petits-Suisses serons à vous.......





Simplement avec des framboises ,et un coulis de fruits rouges

Histoire

Trop souvent, on attribue au petit-suisse, sans doute à cause de son nom une origine étrangère. En fait, il est bel et bien né en Normandie même si l'un de ses parents était effectivement suisse. C'est vers les années 1850, qu'un employé suisse d'une laiterie d'Auvilliers (près de Beauvais) à l'idée de faire ajouter à la propriétaire des lieux, madame Hérould, de la crème à une préparation de lait destinée à produire des bondons.

Cette histoire aurait pu s'arréter là, si un commis, Charles Gervais, n'avait pas vu l'interêt de ce produit et n'en avait pas fait pendant de longues années (et pour sa plus grand satisfaction) le produit phare de sa maison. La société Gervais, jusqu'alors spécialiste des double-crèmes, devint le plus gros producteur de petits-suisses et mit au point une organisation de distribution sans faille notament pour livrer ses produits à Paris, d'abord en calèche puis par chevaux. Le petit-suisse profita aussi du savoir de la société Pommel, le redoutable concurrent (et voisin) de la maison Gervais au début du siècle, qui se lança aussi dans cette production et la distribua abondamment en Normandie.

A l'origine, les petits suisses étaient vendus dans une fine bande de papier et placés par six dans de petites caissettes de bois.